C’était un de ces matins où tu te traînes un peu. Le genre de journée où le réveil sonne, mais où tu n’as aucune envie de sortir du lit, encore excitée par un rêve érotique puissant et qui te pousses à écarter tes cuisses pour stimuler ton bouton d’amour caché dans son écrin de chair. Pourtant, je n’avais pas vraiment le choix. Une dissertation à finir, des bouquins à rendre… bref, une douche, un coup de rasoir sur l’entre jambes, un petit string en dentelle noire assorti à une robe courte et direction la fac.
Je m’appelle Luciana. Je suis une petite brune aux yeux noirs très féminine avec une forte poitrine. Je suis en deuxième année de lettres dans la ville de Nancy plus par curiosité que par amour des lettres. Rien de très passionnant ce matin-là, juste moi et mon sac bien trop lourd, remplis de cahiers et de stylos qui traînent partout. La routine, quoi.
Je débarque à la bibliothèque dans mes rêveries, mon café à moitié froid à la main, et je me faufile entre les tables. C’est là que je l’ai vu. Lui, je me souviens très bien de cet instant.
Installé à une table près de la fenêtre, plongé dans un bouquin comme si le monde n’existait pas autour. Franchement, j’ai failli passer sans le remarquer, mais il avait ce truc animal qui fait frémir toutes les femmes... Un air concentré, mais détendu en même temps. Tu vois le genre?
J’étais tellement en train de le fixer que je me suis arrêtée en plein milieu du passage. Malin. Et là, boum, il lève la tête.
« Euh, salut... tu veux la chaise ? » qu’il me sort avec un sourire en coin, découvrant des dents magnifiquement organisées dans un sourire carnassier, je remarque d’un coup d’œil ses épaules larges et des mains très sensuelles.
Grosse panique dans ma tête. Je me rends compte que je suis plantée là, à le dévisager comme une ado devant son crush. Un picotement primaire remonta de mes talons jusque dans ma nuque à la vision de ses grands yeux noirs aux cils extraordinairement longs lui donnant un regard profond.
« Ah, euh... non, t'inquiète, j’la prenais pas », je lâche, essayant de jouer la fille cool.
Il rigole, mais gentiment, et tire la chaise pour la ramener à sa table. Mais au lieu de replonger dans son bouquin, il me regarde, genre vraiment. Silence gênant.
« Toi aussi, t’es en lettres modernes, non ? » il me demande.
Je reste figée. Comment il sait ça ? J’opte pour un hochement de tête rapide, toujours un peu sous le choc.
« Moi aussi, enfin... je termine ma thèse cette année » qu'il ajoute, comme si c'était la chose la plus normale au monde de discuter comme ça avec une inconnue.
Et là, ça devient bizarrement naturel. On commence à papoter, d'abord littérature (parce qu’il faut bien briser la glace), puis de tout et de rien. Je ne m’attendais pas à ça en venant bosser ce matin-là. Mais voilà, Antoine, c’était l’imprévu de la journée.
Antoine et moi, on a continué à discuter pendant ce qui m'a paru être des heures. Je ne sais même plus ce qu’on s’est dit exactement, mais j’étais à l’aise, comme si je le connaissais depuis toujours. On a parlé de nos profs, des bouquins qu’on détestait (ah, Flaubert, ce vieux cauchemar), des soirées ratées à la fac... et évidemment, des cours qu’on devait absolument suivre mais qu’on séchait tous les deux de temps en temps.
À un moment, je me suis rendu compte que la bibliothèque s’était vidée. L’après-midi avait filé sans que je m’en rende compte. Mon café était désormais un vieux souvenir, et mes cahiers étaient restés fermés tout ce temps. Rien fait. Je sentais la dissertation de poésie me lancer un regard désapprobateur depuis le fond de mon sac mais en même temps mon clitoris se dressait sous la fine dentelle comme un appel à la sexualité, j’avais vraiment envie de le dévorer tout cru.
« Il est déjà 17h ?! » Ai-je lâché, soudainement paniquée.
Antoine a regardé sa montre, un peu surpris lui aussi. « Ah ouais… le temps passe vite quand on est bien entouré, je suppose. » Il a souri, ce sourire qui allait finir par me faire craquer si je restais encore cinq minutes de plus avec lui.
« Bon, j’vais devoir filer, sinon ma prof va m’achever si je lui rends un truc bâclé. » Je me suis levée un peu à contrecœur, pas vraiment envie de partir, mais la réalité m’a rattrapée.
Soudain Antoine sentant mon départ lance d’une seule phrase « T'es sacrément bien gaulée! J'ai super envie de te baiser, là tout de suite! J'suis sûr que t’es une vraie cochonne et que t'en meures d’envie » qu'il ajoute. Tout venait de basculer.
Comme nous étions dans un coin derrière de grandes étagères et qu’il n’y avait que nous, je n’ais pas été capable de résister à cette invitation explicite, « hum, ça me va dis-je. » J’ai essayé de paraître cool, mais au fond je mourrais d’envie de voir le sexe de ce bel inconnu. Mon clito et mes tétons étaient dressés d’excitation. Je me suis assise face à lui sur une chaise en relevant la jupe en en écartant les cuisses. En un éclair Antoine ouvrit sa braguette pour sortir son engin gonflé de désir il tira sur la peau pour que je puisse admirer son gland tout violacé. J’eus un orgasme immédiat à la vision de son intimité impudique.
« Attends, Luciana, enlève ta petite culotte que je vois si ton abricot est lisse comme j’aime et fais la moi passer que je renifle ton désir de femelle en rut » m’a-t-il dit avec un regard d’une bestialité troublante. « Ça urge » dit-il « il faut que je me vide les couilles, vite fait, tu m’as trop excité. »
Mon cerveau a buggé deux secondes, j'ai fait semblant de réfléchir, mais en vrai, comme dans un rêve j’ai exécuté ses ordres hypnotisée en m’installant en face de lui et en écartant mes lèvres avec l’index et le majeur de ma main gauche. Il faut dire à ma décharge que j'étais déjà au summum de mon désir et que du jus coulait le long de mes jambes en cascade.
« Vas y régale toi mon cochon, tu vois bien ma craquette là ? » lui dis je. En guise de réponse il me regarda droit dans les yeux tout en se tirant sur la queue et en moins de 2 minutes je vis un jet de sperme épais s’étaler sur la dentelle noire de ma lingerie, ponctué par un râle bestial qui me déclencha un deuxième orgasme plus puissant que le premier.
Il s’écria en me rendant mon string « toi tu sais y faire avec les hommes ma belle! ça te dit qu’on se voit demain pour la revanche que je puisse te fourrer la chatte ou ta joli rondelle, comme tu veux ?»
« Ok pour la chatte, ça me va! » Dis je tout en essayant de paraître cool, mais au fond, mon cœur faisait des saltos arrière.
« Cool, à demain alors. Même heure ? » Il a rangé ses affaires avec une tranquillité qui m’a presque fait jalouser son assurance.
« Parfait, à demain. »
Je suis sortie de la bibliothèque avec un sourire collé sur le visage. Bien sûr, je ne me suis pas remise à travailler sur ma dissertation. J’ai passé la soirée à penser à lui, à revoir chaque détail de notre mise en scène sexuelle, comme si je voulais m'assurer que tout ça était bien réel, je ne pu m’empêcher de me caresser longuement le sexe en pensant à cette après midi charnelle.
Le lendemain, la journée à la fac a été longue. Trop longue. C’était comme si tout ce que je faisais traînait en longueur. Et évidemment, tout ce que je pouvais faire, c’était regarder l’horloge et compter les heures avant de revoir Antoine.
Je l’ai retrouvé à la même table, cette fois avec deux cafés devant lui.
« J’me suis dit que t’en aurais besoin après ta longue journée, » il m’a dit en me tendant le gobelet encore fumant.
« T’as pas idée » j’ai répondu, soulagée d’avoir un peu de caféine pour me remettre d’aplomb.
On a repris notre discussion comme si on s’était quittés la veille à peine quelques minutes plus tôt. Il avait un don pour me mettre à l’aise, pour faire en sorte que je me sente bien, même quand je déballais des anecdotes un peu foireuses sur mes galères à la fac. Antoine, lui, semblait toujours avoir une petite histoire à raconter, une blague pour me faire rire. On parlait de tout et de rien, des trucs sérieux et des trucs débiles. C’était fluide, sans prise de tête.
Puis, au bout d’un moment, il a pris un ton un peu plus sérieux.
« T’as des projets après la fac ? »
Je n’avais pas vraiment réfléchi à cette question. C’est le genre de truc qui te trotte dans la tête, mais que tu repousses toujours à plus tard.
« Je sais pas trop, en vrai. Peut-être un master, ou je pars voyager, qui sait ? » J’ai haussé les épaules. C’était encore flou pour moi.
« Voyager, c’est toujours une bonne idée. » Il a souri doucement, et puis ses yeux se sont un peu perdus dans le vide, comme s’il pensait à autre chose, à un endroit lointain. « Moi, j’ai toujours rêvé de partir en road trip, voir le monde, mais bon… on verra. »
Il avait l’air pensif, presque vulnérable. C’était la première fois qu’il laissait entrevoir un côté plus sérieux, et ça m’a touchée. Je me suis rapprochée un peu, et sans trop réfléchir, j’ai posé ma main sur la sienne. Juste un geste, comme ça. Il a relevé la tête et m’a regardée. Un silence s’est installé entre nous, mais ce n’était pas gênant. Plutôt… intense.
« Je pense que t’as besoin de ce voyage, mais en attendant j’ai envie que tu me casse la minette sans attendre j’ai le feu entre les cuisses depuis hier » ai-je dit doucement.
Il a serré ma main un peu plus fort, sans dire un mot. C’était un de ces moments où tu sens que quelque chose change, où tu sais que t’es à un tournant.
La soirée s’est prolongée autour de quelques bières dans un bar du quartier étudiant. Rien de très extravagant, mais c’était parfait. On riait, on se racontait nos galères, nos ambitions, nos envies. Je n’avais jamais eu cette connexion avec quelqu’un aussi vite. Avec Antoine, c’était simple. Naturel.
Vers minuit, alors qu’on marchait tranquillement dans les rues presque désertes, il s’est arrêté devant mon appart avec un regard d’envie.
« J’ai les sacoches pleines, tu veux dérouiller un peu ? » dit il, les mains dans les poches, un sourire en coin en se touchant l’entre jambe.
J’ai hoché la tête, un peu nerveuse. « Ouais, carrément en plus mate la bosse dans ton pantalon, tu es tout engorgé ta braguette va exploser, j'peux pas te laisser dans cet état il faut que je te soulage! »
Il s’est approché, doucement. J’ai senti mon cœur s’accélérer, et avant que j’aie le temps de trop réfléchir, ses lèvres étaient sur les miennes. C’était doux, tendre, mais avec cette petite pointe d’intensité qui te fait tourner la tête. J’ai fermé les yeux et je me suis laissé porter.
Quand il s’est reculé, il m’a regardée avec un air complice. « Allez viens on monte et on baise, Luciana. »
Arrivé chez moi il a immédiatement tombé son froc pour me monter sa grosse bite en érection « regarde comme tu me fais durcir le chibre ma salope ? » Dit il, cette seule phrase avait allumé instantanément le feu entre mes cuisses.
Comme hypnotisée je me mis à quatre pattes en bombe les fesses bien en l’air sur le tapis du salon en écartant mon petit string rouge de la raie de mes fesses et lui dit d’une voix sensuelle, « viens me casser le train arrière et fini toi dans ma chatte j’en rêve depuis hier ».
Il répondit à mon invitation du tac au tac. « Avec plaisir » lança t’il en se glissant derrière moi légèrement en hauteur comme accroupit. Puis prenant quelques secondes pour admirer mon postérieur il se saisit de son membre en écartant une de mes fesses pour glisser l’engin dans mon fondement tout entier jusqu’à la garde dans un grognement de plaisir en disant « Putain tu es vraiment une chaudasse! Mon gros gourdin rentre comme dans une motte de beurre, et pas besoin de lubrifier tu mouilles du cul, t’es une magicienne ».
Je ne pipai mot bien trop concentrée sur mon plaisir qui montait en moi comme une vague énorme. En quelques mouvements de mon amant la jouissance arriva brutalement faisant contracter mon sphincter sur la pine d’Antoine qui déclencha sa jouissance en disant « je peux plus tenir, t'es trop bonne j’t’envoie la purée dans ton fion! Tiens prends ça! attention va y avoir la dose, y’a au moins un quart de litre et ça va déborder » dit il en se retirant et en essuyant son sexe sur mes fesses.
Je partis me doucher dans un état de béatitude intense quand Antoine rentra dans la douche en disant « merci ma beauté c’était magique je dois filer j’ai un rendez vous demain matin avec mon maître de thèse et je dois finir de boucler les points, on se capte quand tu veux, bisous c’est vraiment à refaire ». Il tourna les talons et parti me laissant détendue jusque tard dans la soirée.
Le lendemain matin, je n'arrivais pas à me concentrer, je ressassais la soirée d’hier en boucle dans ma tête. Chaque cours semblait interminable, chaque minute passait avec une lenteur insupportable. Je repensais à la veille, à ce baiser devant mon appart, à ce moment suspendu dans le temps. Je ne savais pas trop où ça nous menait, mais une chose était sûre : Antoine prenait une place de plus en plus grande dans mes pensées.
L'après-midi, je l’ai retrouvé à la bibliothèque, comme d’habitude. Cette fois, on a un peu travaillé. Enfin, “travaillé” est un grand mot. On a surtout échangé des regards complices au-dessus de nos bouquins, des petits sourires, et quelques blagues qui nous faisaient rire en plein silence, au point de nous attirer des regards agacés des autres étudiants. Rien que le fait de partager cet espace avec lui me donnait l'impression que tout était plus léger, plus facile.
Vers la fin de la journée, Antoine m’a proposé qu’on se retrouve chez lui le soir. « On pourrait regarder un film ou cuisiner un truc ensemble. Ça te dit ? »
Je n’ai pas hésité une seconde. « Avec plaisir ! »
Le soir même, je me suis retrouvée chez lui. Son appart n'était pas très grand, mais il était chaleureux, avec des livres partout, des posters de films et des vinyles qui traînaient sur une vieille étagère. Il avait cette ambiance cosy que j’aimais bien, un peu à son image. On a commencé à préparer des pâtes ensemble, et rapidement, la cuisine s’est transformée en une scène de petits gestes taquins.
Antoine me jetait des morceaux de légumes, je ripostais en lui donnant un léger coup d’épaule. D’un coup il prit une courgette de belle taille dans la panière et me dit sur le ton de la plaisanterie « si cela te dis je peux m’occuper de tes 2 trous en même temps ? Choisi celle que tu veux et je m’occupe de la suite ! Crois moi tu vas t’éclater » J’ai rigolé en hochant la tête et dis « attend que je termine le repas après avec plaisir », il pouffa en reposant le légume sur la table.
À un moment, en cherchant une épice dans le placard, il s’est retrouvé juste derrière moi. Je pouvais sentir sa présence tout près, sa chaleur, son souffle léger sur ma nuque. Ça m’a donné des frissons. Il a posé ses mains sur mes hanches, doucement. Rien de brusque, juste un geste tendre, comme une manière de vérifier si c’était ok.
Je me suis retournée, nos visages à quelques centimètres l’un de l’autre. Il m’a regardée dans les yeux, comme pour me demander silencieusement si j’étais d’accord. J’ai hoché la tête, et il m’a embrassée.
C’était différent de la veille. Plus lent, plus profond. Un moment où le temps semblait s’arrêter, juste nous deux, là, dans cette petite cuisine. Ses mains se sont fait plus assurées, glissant le long de mon dos. Je me suis accrochée à lui, sentant ce lien entre nous se renforcer, comme si le reste du monde n'existait plus.
On a arrêté de faire semblant de cuisiner. L’atmosphère était devenue plus intime, mais sans précipitation. Chaque geste, chaque baiser était comme une découverte, une nouvelle étape franchie ensemble. On s’est doucement dirigés vers son canapé, nos corps se trouvant naturellement, s’accordant sans effort. Antoine était doux, attentionné, toujours à l’écoute de mes réactions, de mes envies.
Il m’a allongée doucement, son regard plongé dans le mien. Il y avait une telle intensité dans ce moment, une complicité silencieuse, une forme de tendresse qui rendait tout plus réel, plus fort. Il m’a murmuré quelque chose à l’oreille, une petite phrase qui m’a fait sourire, qui m’a rassurée. C’était simple, naturel. Un moment entre nous, sans besoin de mots compliqués.
Nos caresses se sont faites plus intimes, plus enveloppantes. Ses mains parcouraient ma peau avec une délicatesse qui me donnait des frissons. C’était un moment de pure connexion, où chaque geste comptait, chaque regard, chaque soupir. Il y avait une chaleur dans ce moment, une tendresse qui nous enveloppait. Rien d’autre n’avait d’importance.
Après un moment qui nous a paru suspendu dans le temps, on s’est retrouvés blottis l’un contre l’autre, en silence. Je pouvais entendre son cœur battre sous ma tête, régulière et apaisante. Antoine a passé son bras autour de moi, et j’ai fermé les yeux, un sourire sur les lèvres. C’était doux, simple, et tout ce dont j’avais besoin à cet instant.
« Ça va ? » qu’il a murmuré, sa voix basse résonnant dans le silence de l’appart.
« Parfait. » J’ai souri, me sentant complètement en paix.
On est restés là, sans parler, juste à profiter du moment. Je n’avais aucune idée de ce que demain nous réservait, mais ce soir, j’étais exactement là où je voulais être, avec lui.
Cette soirée a marqué un tournant dans notre relation. Après ça, on a commencé à passer de plus en plus de temps ensemble, à partager des moments simples, des rires, des discussions qui duraient jusque tard dans la nuit. On n'avait pas besoin de mots compliqués pour se comprendre. Avec Antoine, tout était naturel. Et c’était peut-être ça, le plus beau.