Moi c'est Jenny, et vais vour reconter une histoire de sexe que j'ai vécue il y a peu. Je me souviens de ce jour comme si c’était hier. Une fin d’après-midi ensoleillée, une de ces journées où on se sent bien, pleine d’énergie. J’avais décidé de rejoindre Emma à la salle de sport, comme on le faisait régulièrement depuis quelques mois. C’était devenu notre petit rituel : une séance de cardio, un peu de musculation, et ensuite, une pause bien méritée dans les vestiaires pour discuter de tout et de rien.
Emma était une belle brune piquante de 46 ans aux yeux noirs et la bouche charnue, son corps féminin à la lourde poitrine tombante était très attirant. Mais ce jour-là, tout était différent, sans que je sache vraiment pourquoi et ce n’était pas parce que je m’étais appliqué à me raser intégralement la minette et m’enfiler un petit string en dentelle blanche ces préparatifs étaient habituels pour moi.
Dès le début de notre séance, quelque chose flottait dans l’air. Je ne saurais pas vraiment l’expliquer. Peut-être un regard plus long que d’habitude, un sourire un peu trop complice, ou juste cette impression étrange qu’il se passait quelque chose entre nous, sans qu’on en parle.
Je faisais mes squats, concentrée, mais j’avais l’impression que les yeux d’Emma étaient sur moi plus souvent que d’habitude. Chaque fois que je relevais la tête, elle me fixait, puis détournait le regard rapidement. Ça me faisait sourire intérieurement. C’était amusant, mais aussi troublant, je commençais à sentir des picotements sur mon clitoris qui se redressait sous la dentelle fine de mon string.
« T’as l’air en forme aujourd’hui, Jenny » m’a t’elle dit en passant à côté de moi, une lueur malicieuse dans les yeux. Je vis le regard d’Emma s’éclairer en s’attardant sur ma chute de reins.
Cette vision m’excita fortement mais je fis comme si de rien n’était.
« Je pourrais dire la même chose pour toi, » ai-je répondu, tentant de jouer la carte de la nonchalance, mais sentant mon cœur battre un peu plus vite.
Le reste de la séance s’est déroulé dans cette même ambiance étrange. Nos regards se croisaient constamment, comme si on se cherchait sans vraiment savoir pourquoi. C’était amusant, grisant même. Mais je sentais qu’il y avait plus que de la simple amitié ce jour-là, une tension que je n’avais jamais ressentie avant.
Quand la séance a pris fin, on s’est dirigées ensemble vers les vestiaires, comme d’habitude. L’air était encore chargé de cette énergie particulière, et je ne savais pas comment la dissiper. Tout était tellement naturel entre nous d’habitude, mais là… c’était différent.
Nous sommes arrivées devant nos casiers. Le vestiaire était pratiquement désert, à part une ou deux personnes qui traînaient encore. Je l’observais du coin de l’œil, avec envie. J’ai toujours trouvé qu’Emma était belle, mais je n’avais jamais vu son corps dénudé. Enfin… jusqu’à ce jour.
Emma a commencé à retirer ses chaussures, puis son t-shirt libérant une belle poitrine à peine tombante aux tétines grosses comme des crayons. Sa taille était ceinte d’une fine chaine en or du plus bel effet. Cette vision m’interpella, comment ma copine de 46 ans pouvait porter ce genre de bijoux réservé aux jeunes filles ? Je rêvassais en essayant de comprendre mais la voix douce d’Emma brisa ma méditation.
« Jenny, tu viens ? » m’a-t-elle demandé en souriant, se dirigeant vers les douches.
« J’te parie que t’auras jamais l’eau chaude si tu traînes trop longtemps. »
Je me suis ressaisie, secouant la tête pour chasser mes pensées. « Oui, j’arrive. »
Je l’ai suivie, sentant la chaleur monter en moi, mais cette fois, ce n’était pas seulement à cause de la séance de sport. Devant les douches Emma fit glisser son short puis son string mais j’eu brièvement le temps d’admirer ses belles fesses bombées lorsqu’elle entra dans la cabine de douche. Je fis de même et commençais à faire couler l’eau séparée d’Emma d’un simple rideau, mais encore une fois, la vision du corps féminin de cette femme mûre ne me quittait pas. J’entendais l’eau couler à côté de moi, et je m’imaginais Emma, juste là, à quelques mètres, un feu m’embrasa la craquette.
Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment-là. Peut-être que c’était la chaleur de la douche, ou peut-être cette tension qui était là depuis le début de l’après-midi, mais j’ai ressenti le besoin de faire quelque chose, de comprendre ce qui se passait entre nous. J’ai tiré légèrement le rideau qui nous séparait, et là, je vis Emma totalement nue les cuisses écartées en train de se caresser la chatte les yeux fermés sous la douche. Elle ne me voyait pas elle était concentrée sur son plaisir, j’entendais seulement ses gémissements de plaisir briser le bruit de la douche. Sa vulve totalement lisse était décorée d’une petite étoile tatouée sur le coté.
« Eh ben elle est fraiche et coquine » me dis je dans me tête.
« Elle n’a pas peur du qu’en dira t’on notre Emma, elle me donne envie la garce »
Semblant entendre ma voix intérieure, Emma lève sa tête et m’a regardée, surprise de voir mon visage derrière le rideau de douche, mais sans chercher à cacher sa nudité. Au contraire, elle a souri, un sourire qui m’a fait comprendre que je n’étais pas seule à ressentir tout ça, elle s’assit sur le banc en écartant ses cuisses à 10h10 pour me montrer son intimité. J’ai pris une grande inspiration, me sentant étrangement vulnérable, mais aussi pleine d’une énergie nouvelle qui me poussa à rentrer dans la douche complètement.
« Tu me reluque depuis tout à l’heure et comme tu le vois je me fais branle toute seule en pensant à ton cul » a t’elle murmuré en haussant les sourcils, toujours avec ce petit sourire en coin.
« Au lieu de rester dans ton coin, viens me lécher le minou et gouter mon jus avec ta langue de jeunette. »
Je n’ai pas su quoi répondre. C’était vrai, et je ne pouvais pas le nier. Mais maintenant que les choses étaient dites, je ne savais pas comment réagir. C’était une amie, Emma, et pourtant cette beauté mature apprêtée d’une façon totalement désinhibée me faisait totalement perdre mes moyens.
Je n’avais qu’une idée en tête ma mettre à genoux et lui laper la minette jusqu’à ce qu’elle crie de plaisir. C’est ce que je fis sans attendre n’en pouvant plus d’excitation, en commençant à faire tourner ma langue autour de son clitoris.
Avant que je ne l’amène à la jouissance, elle m’attrapa la tête entre ses mains, et doucement introduisit sa langue dans ma bouche avec douceur. L’eau ruisselait sur nos corps, et j’ai senti mon cœur battre à tout rompre. Elle a levé la main, doucement, et a frôlé ma joue, comme pour tester ma réaction. Je n’ai pas bougé. J’étais figée, mais pas par peur. Plutôt par une sorte de fascination, comme si j’étais prise dans un tourbillon dont je ne voulais plus sortir.
« Jenny » a t'elle murmuré d’une voix douce, presque hésitante mais sure d’elle :
« Je veux bouffer ta jolie chatte et ton cul, comme cela nous aurons les orgasmes en même temps, ça te dis ? »
Je l’ai regardée, et tout à coup, plus rien d’autre n’avait d’importance. Ni la salle de sport, ni le vestiaire désert, ni même ce que cela pouvait signifier pour nous. C’était juste nous deux, dans cet instant suspendu. Je me suis avancée tête bèche pour un 69 avec cette femme débordante d’animalité. En position confortable avec légèreté ses lèvres et sa langue se sont posées sur ma fente brûlante, d’un geste doux j’ai écarté ses lèvres pour boire son jus avec avidité d’une envie que je ne pouvais plus cacher.
Et puis, tout s’est enchaîné. Nos baisers sont devenus plus pressants, plus intenses, comme si tout ce que nous avions refoulé jusque-là devait sortir à cet instant précis. Ses mains ont glissé le long de mes bras, puis sur mes tétons, et j’ai frissonné à ce contact. C’était grisant, et tout ce que je voulais, c’était rester là, avec elle, à savourer ce moment de pure complicité, jusqu’à atteindre l’extase totale dans des cris et des tremblements de plaisir.
Après ce moment de douceur et de rapprochement, nous sommes restées l’une contre l’autre, respirant doucement, profitant de ce silence qui n’avait plus rien de gênant. C’était un silence apaisant, plein de compréhension. Aucun mot n’était nécessaire. Tout était clair entre nous, même si on ne savait pas ce que cela signifiait pour la suite.
Emma a fini par rompre le silence, sa voix toujours douce mais avec une pointe de malice :
« On a fait une bonne séance, hein tu m’as bien fait prendre mon pied ! »
Je n’ai pas pu m’empêcher de rire :
« Oui, on peut dire ça tu es tellement sexuelle tu m’a mis la chaleur dans tout mon corps, merci mille fois ».
Elle m’a souri, ce sourire que je connaissais si bien, mais qui avait pris une toute autre signification aujourd’hui.
« On va faire comment, maintenant ? » qu’elle a demandé, comme pour tester l’eau.
Je l’ai regardée, un sourire aux lèvres :
« On verra, mais je pense qu’on est prêtes pour une autre séance la semaine prochaine, non ? »
Elle a ri doucement, puis a hoché la tête :
« Oui, ça me va. »
Après nous être rhabillées, nous avons quitté la salle de sport comme si de rien n’était, mais avec ce lien nouveau, cette complicité plus profonde qui s’était installée entre nous. Nous savions toutes les deux que notre relation venait de changer, mais au lieu d’en avoir peur, nous étions prêtes à voir où cela nous mènerait.
Et au fond de moi, je savais que ce n’était que le début.